Olivia Rosenthal à l'Apostrophe
Olivia Rosenthal à l'Apostrophe
Source: Editions VERTICALES
Prix Transfuge 2019
Prix du Livre Inter 2011
Prix Alexandre Vialatte 2011 pour Que font les rennes après Noël?
Prix Wepler Fondation La Poste 2007 et Pierre Simon Ethique et Réflexion pour On n'est pas là pour disparaître
*
Olivia Rosenthal a publié dix fictions aux éditions Verticales, notamment Mes petites communautés (1999), Les fantaisies spéculatives de J.H. le sémite (2005), On n’est pas là pour disparaître (2007, prix Wepler), Que font les rennes après Noël ? (2010, Prix du Livre Inter 2011) et Mécanismes de survie en milieu hostile (2014), ainsi qu’une satire initiatique Les Sept Voies de la désobéissance («minimales», 2004) et Ils ne sont pour rien dans mes larmes («minimales», 2012). Elle est en outre l’auteur de deux récits dans le cadre de son projet « Architecture en paroles » : Viande froide (éd. Lignes/104), et « Maison d’arrêt Paris-La Santé » (éd. Paris Musées/Carnavalet) et de deux textes pour le théâtre : Les félins m’aiment bien (Actes Sud-Papiers, 2004) et Les Lois de l’hospitalité, (Inventaire / Invention, 2008). Initiatrice de nombreuses performances avec des cinéastes, plasticiens ou compositeurs, elle a également fondé avec Lionel Ruffel le master de création littéraire à l’Université de Saint-Denis.
Prix Transfuge 2019
Prix du Livre Inter 2011
Prix Alexandre Vialatte 2011 pour Que font les rennes après Noël?
Prix Wepler Fondation La Poste 2007 et Pierre Simon Ethique et Réflexion pour On n'est pas là pour disparaître
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Olivia Rosenthal a publié dix fictions aux éditions Verticales, notamment Mes petites communautés (1999), Les fantaisies spéculatives de J.H. le sémite (2005), On n’est pas là pour disparaître (2007, prix Wepler), Que font les rennes après Noël ? (2010, Prix du Livre Inter 2011) et Mécanismes de survie en milieu hostile (2014), ainsi qu’une satire initiatique Les Sept Voies de la désobéissance («minimales», 2004) et Ils ne sont pour rien dans mes larmes («minimales», 2012). Elle est en outre l’auteur de deux récits dans le cadre de son projet « Architecture en paroles » : Viande froide (éd. Lignes/104), et « Maison d’arrêt Paris-La Santé » (éd. Paris Musées/Carnavalet) et de deux textes pour le théâtre : Les félins m’aiment bien (Actes Sud-Papiers, 2004) et Les Lois de l’hospitalité, (Inventaire / Invention, 2008). Initiatrice de nombreuses performances avec des cinéastes, plasticiens ou compositeurs, elle a également fondé avec Lionel Ruffel le master de création littéraire à l’Université de Saint-Denis.